Parmi les principales raisons figurent le « coût élevé de maintenance et d’assistance », ainsi que les « tactiques de vente agressives et audits ». Les personnes interrogées invoquent également le « manque d’analyse de rentabilité », comme facteur essentiel dans la décision ne pas adopter les solutions SaaS d’Oracle
LAS VEGAS–(BUSINESS WIRE)– Rimini Street, Inc. (Nasdaq : RMNI), un fournisseur mondial de services et produits logiciels d’entreprise, le premier prestataire de services de support tiers pour les produits logiciels Oracle et SAP, et partenaire Salesforce, a révélé aujourd’hui les conclusions de son récent sondage mené auprès des titulaires de licences Oracle, afin de mieux évaluer la qualité de leur relation avec ce fournisseur, ainsi que leurs stratégies d’applications et leurs projets futurs. Le rapport souligne que la majorité des clients Oracle interrogés envisagent actuellement ou activement de réduire leurs dépenses allouées à ce fournisseur, en raison, principalement, du coût élevé du logiciel et des fonctionnalités (61 %), du coût élevé de la maintenance et du support annuels (58 %), et des tactiques de vente agressives et des audits d’Oracle (21 %).
Une majorité d’entre eux continue d’exécuter les applications Oracle sous licence, actuelles
Le rapport indique également que la majorité des répondants continuent d’utiliser leurs applications Oracle sous licence, existantes, maximisant ainsi leurs investissements actuels. La moitié d’entre eux envisagent de passer progressivement à un environnement cloud hébergé.1 Le rapport intitulé « Why Enterprises are Rethinking Their Oracle Relationship and Cloud Strategy » (Pourquoi les entreprises repensent-elles leur relation avec Oracle et leur stratégie de cloud computing) s’appuie sur les réponses des cadres informatiques et financiers, vice-présidents informatiques, responsables des achats, directeurs et responsables informatiques, tous issus d’un large éventail de secteurs et d’entreprises de tailles diverses.
Parmi ceux qui envisagent des options cloud, la plupart ne choisissent ni Oracle IaaS, ni SaaS Cloud
Parmi les personnes interrogées qui envisagent de migrer leurs applications Oracle vers un environnement cloud de type Infrastructure-as-a-Service (IaaS), 70 % n’ont pas choisi les offres cloud d’Oracle, mais ont opté pour des solutions Amazon Web Services, Microsoft Azure et Google Cloud.2 Par ailleurs, 80 % des répondants ne prévoient pas ou hésitent à migrer vers les offres Software-as-a-Service (SaaS) d’Oracle. Voici les principales raisons invoquées pour ne pas migrer vers les solutions SaaS d’Oracle : « Les applications actuelles répondent aux besoins de l’entreprise, ou absence d’analyse de rentabilité » (53 %), « Trop coûteux » (30 %), et « Trop perturbant pour migrer » (28 %). En outre, plus de 63 % des répondants affirment redouter de se retrouver enfermés dans le cloud d’Oracle, après avoir opté pour la migration.
Problèmes liés à la maintenance et au support d’Oracle
Selon les personnes interrogées, le coût de la maintenance et du support logiciel annuel du fournisseur pèse sur la relation entre Oracle et ses clients, ce qui fragilise les avantages perçus de ce support. De fait, 46 % d’entre elles citent les « coûts élevés » comme le défi numéro un qu’impose aujourd’hui la maintenance d’Oracle. Parmi les autres défis cités par les utilisateurs Oracle interrogés, citons la nécessité d’une mise à niveau pour résoudre les problèmes (30 %), le manque de support pour les personnalisations (27 %), et le recours à un ingénieur expérimenté (24 %). Outre les défis liés à la maintenance et au support d’Oracle, plus de 70 % des répondants souhaiteraient que les améliorations du logiciel d’Oracle leur procurent des avantages supérieurs, ou ne sont pas satisfaits de la valeur que leur offrent ces améliorations.
Concernant leur relation et leur stratégie avec Oracle, les risques et soucis mentionnés par les répondants au sondage, notamment le coût élevé de la maintenance, le manque d’innovation émanant d’Oracle, et la crainte d’un effet de verrouillage de la part d’Oracle, sont autant d’indices d’une réaction à l’encontre d’une feuille de route dictée par le fournisseur, laquelle impose des mises à niveau obligatoires pour garantir une assistance intégrale, ainsi que de constants correctifs et des mises à jour, le tout représentant un coût considérable en termes de temps, d’argent et de personnel requis. Les répondants souhaitent plutôt reprendre le contrôle de leur système d’entreprise, et se lancer dans une stratégie informatique basée sur une feuille de route orientée métier, axée sur les objectifs commerciaux et non sur les fournisseurs.
« Nous avions trop de licences et pliions sous le fardeau des coûts d’assistance élevés, sans que nos problèmes de maintenance essentiels puissent être traités rapidement », a confié Mike Conroy, directeur de TechOps, Rent-a-Center. « Nous avons donc opté pour Rimini Street, et bénéficions désormais d’un support premium ultra réactif qui a permis d’alléger nos ressources internes et de nous concentrer sur des initiatives plus stratégiques. Nous avons également réalisé d’importantes économies qui peuvent être appliquées à la transformation de l’entreprise. À l’avenir, nous allons planifier notre stratégie informatique en fonction de nos besoins commerciaux actuels et futurs, notamment en choisissant de passer au cloud au moment le plus opportun pour notre entreprise, plutôt qu’en suivant la feuille de route du fournisseur. »
En plus de bénéficier du support primé de la Société (qui comprend une assistance pour les personnalisations et les mises à jour fiscales, légales et réglementaires), tous les clients de Rimini Street se voient attribuer un ingénieur de service principal (Primary Service Engineer, PSE), ayant en moyenne 15 années d’expérience dans leur logiciel d’entreprise. De plus, le support ultra réactif de la Société est soutenu par un accord de niveau de service (service level agreement, SLA), soit la garantie d’une réponse en 15 minutes pour tous les problèmes dont l’enjeu est crucial, et de 30 minutes pour les cas d’urgence secondaire.
« Dans la mesure où certaines versions de la plateforme d’entreprise Oracle vont mettre fin au support complet d’ici 2025, et compte tenu des risques et soucis qu’implique le fait de suivre la stratégie dictée par un fournisseur, les clients réévaluent leur relation avec Oracle », a déclaré Seth A. Ravin, PDG de Rimini Street. « Les détenteurs de licence Oracle se sentent autorisés à mettre en place leur propre feuille de route pour l’avenir, définie par les besoins de leur entreprise, plutôt que par les choix du fournisseur. En choisissant le support premium de Rimini Street, nos clients sont en mesure de consacrer plus de temps, de budget et de ressources à la transformation de leur activité et à leur avantage concurrentiel, au lieu d’être ralentis par les coûts récurrents et les besoins en ressources d’une feuille de route dictée par le fournisseur. »
Pour télécharger une copie du rapport, « Pourquoi les entreprises repensent-elles leur relation avec Oracle et leur stratégie de cloud computing », veuillez cliquer ici.